Ils étaient 161 au départ de ce tournoi Freeze à 500$ + 50$, le jeu s’est déroulé pendant environ 9 heures. Comme prévu l’action n’a pas ralenti une seconde, surtout aux deux dernières tables. Le calibre était d’un vaste éventail et plusieurs nouveaux joueurs se sont présentés pour l’évènement 13 de la Classique Printanière Playground Poker présenté par partypoker.net.
La table finale fût très rapide mais surtout très agressive alors que plusieurs joueurs ont fait les montagnes Russes. Les 2 meneurs du tournoi se sont attaqués sans précaution: agression, agression et agression. Mike Saragossi a dominé une bonne partie de cette table finale et lorsqu’ils se sont retrouvés heads-up Mike Saragossi avait une avance de 3-1 sur Jonathan Bussières. La première main a résulté un all in qui a doublé Jonathan alors que Mike a mis de la pression avec 
pour être call par Jonathan 
, les cartes communes n’ont rien changées, ce qui remettait le compteur à zéro. Les joueurs avaient pratiquement le même nombre de jetons, aucune entente n’a été acceptée. Après plusieurs échanges de jetons la main fatidique arriva.
Mike: 
Jonathan: 
Tableau: 
Après la main Mike s’est levé pour serrer la main du grand vainqueur et avant même de s’y rendre le croupier annonça qu’il lui restait encore des jetons. Après quelques vérifications le croupier annonça à Mike qui lui restait… un jeton de 5 000. Sans surprise il est allé all in la main suivante et Jonathan Bussières n’a eu besoin que d’une main pour remporter le tout malgré la domination de Mike pre-flop.
Gagnant de l’évènement 13: Jonathan Bussières – 18 400$
Finaliste de l’évènement 13: Mike Saragossi – 13 675$
Dernière main de jeu
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garda le suspense mais lorsque James a touché son As sur le turn il venait de revenir au point de départ d’il y a… une main. Quelques mains plus tard c’était encore un duel Saragossi VS Mask. Richard alla all in pour être call par Mike. Lors de l’exposition des mains Richard a vu sa main dominée par celle de Mike:
Jason n’avait plus grand espoir de s’en sortir vivant. Les deux dernières cartes ne l’ont sauvé.
